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Nouveau blitz par Dernière génération aux Offices à Florence.Ce matin, dimanche 3 mars, un groupe d'éco-activistes a collé des tracts décrivant les catastrophes des inondations sur la vitre de protection du Primavera de Botticelli et sur les murs de la Galerie.Cinq garçons ont été arrêtés avant l'action, qui a duré quelques minutes.Immédiatement, d'après ce que l'on apprend, les gardiens du musée ont éteint les lumières de la salle et ont invité les visiteurs à sortir.«En 2023, à Campi Bisenzio, la boue a tout détruit, laissant derrière elle plus de deux milliards d'euros de dégâts et sept morts – lit-on dans le dépliant -.Le gouvernement n'a pas encore donné d'argent aux personnes touchées.Il parle de sécurité, mais la seule sécurité qu'il respecte est celle du marché.Et il punit ceux qui le demandent d'une amende de 20 000 euros.Ultima Generazione exige que l'État prenne soin de ses citoyens avec un Fonds de réparation de 20 milliards pour toutes les victimes des catastrophes climatiques.En effet, début février, un membre du groupe était condamné à une amende de vingt mille euros pour avoir attaqué avec des images sur bande de papier des inondations de Campi Bisenzio sur le verre de la Vénus de Botticelli.Dans ce cas, il s'agissait de la première application de ce que l'on appelle loi sur les éco-manifestations qui prévoit des sanctions allant de 20 mille à 60 mille euros pour quiconque détruit, disperse, détériore ou rend ses propres biens culturels ou paysagers ou ceux d'autrui totalement ou partiellement inutilisables ou inutilisables.