https://www.lindipendente.online/2023/10/04/nel-mediterraneo-sono-tornati-a-crescere-i-coralli/
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Il augmente exceptionnellement présence de coraux et diminuer considérablement le déchets marins, alors qu'il y a une prolifération de nombreux espèce exotique et inquiétant diminution de la végétation de posidonies.C'est la situation du milieu marin méditerranéen, photographiée dans le dernier rapport de laIspra, présenté lors d'une conférence à Palerme dans le cadre du système national de protection de l'écosystème marin.
Plus précisément, Ispra a inscrit formations de coraux dans 8 régions italiennes et 160 sites à l'étude.Les noms des principales espèces observées sont eunicella, pentapora et paramuricea.Dans 9 régions, au sein de 37 zones de surveillance, des « lits de rhodolithes » ont également été découverts, c'est-à-dire petites algues calcaires de forme similaire au pop-corn.
Les données ne sont cependant pas très positives en ce qui concerne posidonie océanique au large des côtes italiennes, qui a été surveillée dans toutes les régions touchées par les mers Tyrrhénienne et Ionienne et dans la zone de la basse Adriatique.Les analyses d'Ispra ont montré que 25 pour cent des sites observés ont un faible densité de poutres par mètre carré, bien que dans les quelque 100 zones surveillées, la densité soit « normale » dans 63 pour cent des cas et « exceptionnelle » dans 11 pour cent.
L’attestation du fort paraît pertinente réduction des déchets marins.Ces dernières années, les déchets échoués ont diminué presque la moitié, passant, pour 100 mètres de littoral, de 460 en 2015 à 273 en 2021.Mais les chiffres sont encore loin des objectifs que s'est fixés l'Union européenne. limite de 20 pour pouvoir parler de bon état environnemental.En ce qui concerne les déchets dans l'eau, sur la période 2018-2022, une densité côtière moyenne de 105 objets par kilomètre carré et une densité offshore moyenne de 3 objets.Les objets analysés sont représentés à plus de 80 % de polymères artificiels, dont 20 % de plastique jetable.
Concernant les statistiques sur les espèces exotiques, l'étude d'Ispra - qui s'est concentrée notamment sur zones portuaires – enregistré la présence de ben 78 espèces.Parmi ceux-ci (dont 20 exclusifs à la mer Adriatique, 9 à la mer Ionienne et 17 à la mer Tyrrhénienne, tandis que 11 sont communs aux trois mers), il y a 25 annélides, 18 crustacés et 11 mollusques.
Les experts d'Ispra décrivent plutôt la situation liée au phénomène d'amélioration commeeutrophisation de la mer, qui consiste en le processus qui déclenche la prolifération d'algues et la réduction de l'oxygène due à un excès de nutriments arrivant de la terre.À cette fin, une série d’actions se sont révélées fondamentales mesures prises au cours des 40 dernières années, parmi lesquels se distinguent la réduction du phosphore dans les détergents et l'utilisation d'engrais, ainsi que l'amélioration des stations d'épuration et des eaux usées.
«Ce que nous présentons n'est qu'une petite partie du travail que l'ensemble du système, en collaboration avec des instituts de recherche et des universités italiennes, réalise pour fournir des éléments utiles à une Stratégie pour la mer qui soit efficace et conforme aux objectifs que nous dérivons Obligations européennes et internationales", a-t-il dit Maria Siclari, directeur général d'Ispra, s'exprimant lors de la conférence.«La Sicile a une extension côtière de 1.637 km et la protection des mers est pour nous un thème de première importance», a-t-il ensuite souligné. Vincenzo Infantino, directeur général d'Arpa Sicilia, qui a participé en tant qu'orateur à la conférence.«Le milieu marin – a-t-il conclu – est un patrimoine précieux qui doit être protégé, sauvegardé et restauré dans le but ultime de maintenir la biodiversité Et préserver la vitalité des mers».
[par Stefano Baudino]