Australie.La baleine à bosse qui était empêtrée dans 800 kilos de filets de pêche et de bouées est saine et sauve

Lifegate

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Une opération de sauvetage massive a permis de mettre en sécurité la baleine à bosse piégée dans des filets au large des côtes australiennes.
  • La baleine à bosse, piégée dans plus de huit cents kilos de matériel de pêche au large des côtes de l'État australien de Victoria, a été secourue.
  • Les engins de pêche abandonnés comptent parmi les principales menaces pour les cétacés, tout comme les collisions avec les grands navires.

Pendant quelques jours, il a eu du mal à nager mais, finalement, elle est libre et en bonne santé.Grâce à une opération de sauvetage massive, il a été mis en sécuritébaleine à bosse qui avait été piégé en plus huit cents kilos de matériel de pêche au large des côtes du Gippsland, région sud-est de État australien de Victoria.

L'opération de sauvetage de la baleine à bosse coincée dans les filets

Un hélicoptère l'avait déjà repérée le samedi 23 juin, mais le baleine à bosse il disparut quelques jours, pour réapparaître ensuite près du lac Tyers. L'opération nécessaire pour le récupérer c'était impressionnant.Dans un premier temps, une équipe spécialisée lui a attaché un tracker, pour éviter de la perdre de vue à nouveau.Après cela, il a dû couper les quelque 800 kilos de cordes et de bouées emmêlées qui l'empêchaient de bien nager, avec quelques difficultés car l'animal était très agité.La police a dû soulever le matériau de l'eau à l'aide d'une grue, pour éviter qu'il n'endommage les navires ou la faune.Malgré une expérience loin d'être facile, rapporte un opérateur, la baleine à bosse semblait "de bonne humeur".

Les risques des engins de pêche abandonnés pour les cétacés

Le baleines ce sont des animaux qui vivent très longtemps, ils vivent jusqu'à cinquante ans.Plus encore que leurs prédateurs naturels comme certaines espèces d’orques, c’est l’homme qui les met en danger. Le trafic naval il a quadruplé entre 1992 et 2012 et il est donc de plus en plus fréquent que des navires entrent en collision avec de grands cétacés.Les directives adoptées dans certains territoires incluent la limitation de la vitesse de navigation à 10 nœuds (18,5 kilomètres par heure), car, selon certaines études, la probabilité d'un accident mortel chute ainsi à 50 %.Mais ceci n’est évidemment pas une garantie.

Il y a ensuite la grande menace de matériel de pêche abandonné en mer.Ce qui, selon une étude publiée par Avancées scientifiques, chaque année dans le monde, ils représentent environ 2 pour cent du total utilisé par les navires de pêche ;et c'est une estimation forcément partielle, car elle ne prend pas en considération la pêche artisanale ou artisanale illégal, non déclaré et non réglementé, dont les dimensions sont exorbitantes.

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