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Le point hebdomadaire sur la crise climatique et des données sur les niveaux de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Selon les données préliminaires de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), la première semaine de juillet a été la plus chaude jamais enregistrée dans le monde depuis que des températures mondiales ont été enregistrées avec « des impacts potentiellement dévastateurs sur les écosystèmes et l'environnement ».Au moins trois séries de données l’indiquent, explique l’OMM :ceux gérés par l'Agence météorologique japonaise (JMA), ceux collectés par l'Université du Maine et ceux du service de surveillance du climat de l'Union européenne, Copernicus.Avec une température moyenne globale de 17,24°C le 7 juillet a été surmonté...
S'appuyant sur des données préliminaires fournies par trois agences météorologiques (Japon, États-Unis, Union européenne), l'Organisation météorologique mondiale (OMM) a établi que la première semaine de juillet a été la plus chaude jamais enregistrée depuis que les températures sont enregistrées.Et 2023 devient de plus en plus l’année où les températures sont les plus élevées jamais enregistrées. Les impacts d’une chaleur record ont été ressentis partout dans le monde.Après les vagues de chaleur en Chine et aux États-Unis et la sécheresse en Espagne, des températures supérieures à la moyenne ont été enregistrées en Inde, en Iran et au Canada, tandis qu'une chaleur extrême au Mexique a fait plus de 100 morts.La semaine dernière, à Adrar, en Algérie, a eu lieu la nuit la plus chaude jamais connue en Afrique, avec des températures ne descendant pas en dessous de 39,6°C.Pendant ce temps, le Nigeria se prépare à faire face à une nouvelle série d’inondations dangereuses. Ces derniers...