subsahariani

Comme cela s’est souvent produit ces dernières années, le naufrage du Cutro a du jour au lendemain remis en lumière les massacres en Méditerranée, mais pas les contextes autoritaires et répressifs des pays de transit ou de départ.Selon la Première ministre Giorgia Meloni et le ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi, la solution serait simple :"Ils n'auraient pas dû partir", ont-ils déclaré, sans tenir compte du fait que le voyage en mer n'est que le dernier d'une longue série de risques que les migrants prennent, pour la plupart avant d'embarquer.Les déclarations du ministre Piantedosi à la presse confirment la tendance de la politique italienne à proposer à nouveau une formule qui a déjà montré ses limites et qui repose sur l'allocation de davantage de fonds aux pays de départ en échange d'une politique de contr&oci...

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