respingimenti

Les récents démission du directeur exécutif de Frontex, Fabrice Leggeri, ne représentent que le dernier morceau d'une mosaïque de plaintes, enquêtes journalistiques Et enquêtes sur les travaux de l'Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, accusé de violations très graves des droits de l'homme. Le recul de l'homme politique français de 54 ans, à la tête de l'agence depuis 2015, serait dû à contenu d'un rapport confidentiel de l'Office européen de lutte antifraude (OLAF).L'enquête, aurait d’une source interne à Frontex, «identifie les responsabilités précises de l'agence et de Leggeri pour certains rejets survenus en Grèce» et indique «un lien direct entre la réunion au cours de laquelle les mesures disciplinaires devaient être décidées et la démission de Leggeri”. Le directeur général de l'OLAF, Ville Itälä, commentant l'enquête avec certains députés européens, il aurait défini Leggeri comme "déloyal envers l’UE» et responsable d’un «mauvaise gestion du personnel”. Des s...

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