Abel Latif
“Dans ta ville il y a un camp de concentration».C'est là plainte militants qui se battent depuis des années pour la fermeture du RCR (Centres permanents de rapatriement), réels trous noirs où finissent et parfois même perdent la vie des citoyens étrangers sans permis de séjour régulier. Avec une capacité totale de 1 100 places, dix centres sont actuellement opérationnels à Milan, Turin, Gradisca d'Isonzo, Rome-Ponte Galeria, Palazzo San Gervasio, Macomer, Brindisi-Restinco, Bari-Palese, Trapani-Milo et Caltanissetta-Pian. du Lac. Ce sont des structures qui, en plus de vingt ans, ont produit une longue traînée de désespoir, violence Et mort.Créé en 1998 par le gouvernement de centre-gauche dirigé par Romano Prodi avec la loi sur l'immigration Turco-Napolitain, les centres furent d'abord appelés CPTA (Centres de Permanence...