amazzonia
Au cours des six dernières années, 800 millions d'arbres ont été abattus pour satisfaire la faim mondiale de viande.
La tribu aborigène Jagalingou en Australie, les communautés indigènes des Philippines et de l'Amazonie brésilienne et colombienne.UN article de DW raconté comment ces groupes se battent pour préserver leurs territoires.Partout dans le monde, les peuples autochtones doivent lutter pour leurs droits fondamentaux.La défense de leurs droits coïncide avec une meilleure protection de l’environnement et du climat.Cependant, bien qu’elles soient considérées comme les gardiennes des ressources naturelles, les tribus autochtones sont souvent confrontées à la répression, à la discrimination et au racisme de masse. Et ils paient de leur vie. Entre 2012 et 2021, des groupes et organisations de défense des droits humains ont documenté la mort de plus de 1 700 défenseurs de l’environnement et des terres dans environ 60 pays.Selon les données publi&eacu...
L'ère du réchauffement climatique est révolue et « l'ère de l'ébullition mondiale est arrivée », selon le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres.« Le changement climatique est là.C'est terrifiant.Et ce n'est que le début", a déclaré Guterres.« Il est encore possible de limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5°C [par rapport aux niveaux préindustriels] et d’éviter le pire du changement climatique.Mais seulement avec une action climatique immédiate. » Les propos de Guterres interviennent après que les climatologues ont confirmé que les trois dernières semaines ont été les plus chaudes jamais enregistrées et que juillet est en passe de devenir le mois le plus chaud jamais enregistré. Les phénomènes météorologiques extrêmes qui affectent toute la Méditerranée, de plus en plus chauds, incendies et ce que nous ne faisons pas pour les prévenir.Si nous avions besoin de nouvelles manifestations des effets de la crise climatique, nous en faisons l’expéri...
Plus de 30 % de la superficie totale actuelle de l'Équateur a été touchée par l'activité humaine, et une grande partie de cette perte s'est faite au détriment de la forêt amazonienne. C'est le résumé d'une longue relation produit par les ONG environnementales équatoriennes EcoCiencia et MapBiomas Equateur en collaboration avec d'autres chercheurs indépendants.La recherche enregistre également la réduction des glaciers et les changements dans la couverture terrestre déclenchés par l’expansion des activités capitalistes telles que l’agriculture, la foresterie, l’exploitation minière et pétrolière qui ont affecté le pays de la côte aux Andes.Les chercheurs ont analysé et comparé des images satellite prises entre 1985 et 2022, révélant que l'Équateur a perdu 1,16 million d'hectares de couverture...
La déforestation en Amazonie brésilienne augmente en baisse pour le huitième mois consécutif.LE données, publié par l'Institut National de Recherche Spatiale (INPE) du Brésil, souligne qu'en novembre la déforestation s'est élevée à 201 kilomètres carrés, avec une perte cumulée qui au cours des 12 derniers mois s'élève à 5 206 kilomètres carrés, 51% de moins par rapport au chiffre constaté au cours de la même période l’année dernière.Depuis janvier 2023, la déforestation a atteint 4 977 kilomètres carrés, soit une réduction significative par rapport à l’année dernière.Certes, la surface forestière continue de diminuer, toujours en proie aux entreprises du bois et des matières premières qui la coupent, mais le rythme a considérable...