cattura del carbonio

Contrairement à ce que prédisent les projections du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) - qui prévoient une capacité mondiale de séquestration comprise entre 1 et 30 gigatonnes de dioxyde de carbone par an - les technologies actuellement utilisées, la disponibilité des sites de stockage et la les engagements pris par les gouvernements pour lutter contre le phénomène pourraient éliminer au maximum 16 gigatonnes de CO2 par an, même si « en réalité » la limite sera de 5 ou 6 gigatonnes.C'est ce qu'a établi une nouvelle étude menée par l'Imperial College, soumise à un examen par les pairs et publiée dans la prestigieuse revue scientifique. Nature, qui, à travers de nouvelles analyses, montre que diverses estimations sur le sujet "ont été hautement spéculatives".Samuel Krevor, c...

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Les multinationales de l'énergie ENI et SNAM ont annoncé avoir commencé le captage et le stockage du dioxyde de carbone émis par la centrale électrique de Casalboretti, dans la commune de Ravenne.Le projet prévoit de capter au moins 90 % du CO2 produit par l'usine - estimé à environ 25 000 tonnes par an – et le transporter jusqu'à la plateforme offshore Porto Corsini Mare Ovest, puis le déposer dans un champ de gaz épuisé à 3 000 mètres de profondeur.Dans un communiqué, ENI a déclaré que cet engagement est « cohérent » avec sa volonté de se positionner comme « un opérateur qui facilite une transition énergétique juste et équilibrée », ajoutant qu'il s'agit d'« une contribution fondamentale pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 ».Cependant, aucune explication ne p...

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La zone profonde et sans lumière de l'océan, située entre 200 et 1 000 mètres sous la surface, est étonnamment pauvre en fer, au point de limiter la croissance des bactéries, qui pourtant, ils compensent en produisant des molécules qui facilitent leur absorption depuis l'eau environnante:c'est ce qui ressort d'une nouvelle recherche menée par des scientifiques de l'Université de Floride du Sud, soumise à un examen par les pairs et publiée dans la prestigieuse revue scientifique Nature.Les auteurs expliquent que l'expérience pourrait révolutionner notre compréhension des processus microbiens dans les profondeurs océaniques et, surtout, fournir de nouvelles estimations et paramètres concernant l’absorption du carbone par les océans, qui dépend fortement de l’activité bactérienne et est essentielle pour atténuer le changement climat...

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