ONG

De nombreux navires de sauvetage opèrent en Méditerranée, mais pas suffisamment pour faire face au nombre de personnes en danger le long de l'une des routes migratoires les plus dangereuses au monde.Après la fin du programme Mare Nostrum en 2014, la flotte civile, la flotte civile de navires de surveillance et de sauvetage active en Méditerranée, est devenue pratiquement la seule ressource pour ceux qui risquent leur vie lors de la dangereuse traversée illégale. Le bout de mer qui s'étend de la Libye ou de la Tunisie à l'Italie représente une barrière physique mortelle, notamment pour les embarcations de fortune en bois ou en caoutchouc, souvent recyclées plusieurs fois par les trafiquants.Jusqu'en 2014, l'opération Mare Nostrum, commencé en 2013 face à l'augmentation des naufrages dans le canal sicilien, elle avait une double mission :garantir le sauvetage en mer et pour...

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Près de dix ans se sont écoulés depuis qu'environ 600 personnes ont perdu la vie dans deux naufrages, les 3 et 11 octobre 2013, au large de Lampedusa.Lors de la 11ème attaque, au moins 60 mineurs ont perdu la vie, à tel point qu'elle a été qualifiée de "massacre d'enfants".Depuis 2016, la Journée du souvenir et de la réception a été instituée le 3 octobre, pour avertir que de telles tragédies ne doivent pas se reproduire. Depuis 2014, près de 26 000 personnes ont disparu de la même manière en mer Méditerranée en tentant de rejoindre les côtes européennes, selon les données fourni par le projet Missing Migrants de l’Organisation mondiale pour les migrations (OIM). via le projet des migrants disparus Le dernier massacre a eu lieu à l'aube du 26 février :des dizaines de corps ont été entraî...

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Le gouvernement a approuvé le décret qui prévoit de nouvelles règles pour les ONG Mis à jour le 29 décembre 2022:Hier le approuvé par le gouvernement « un décret-loi qui introduit des dispositions urgentes pour la gestion des flux migratoires », sur proposition de la Première ministre Giorgia Meloni et du ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi.Le décret établit un nouveau code de conduite pour les ONG effectuant des sauvetages en mer, avec des règles plus strictes.Comme prévu, parmi les sanctions, le décret prévoit "l'immobilisation administrative du navire (contre laquelle un recours au préfet est autorisé) et, en cas de répétition des comportements interdits, la confiscation de celui-ci, précédée d'une saisie conservatoire". .Des sanctions sont également prévues si le commandant et le p...

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